La célèbre prostituée ghanéenne Queen Farcadi gagnerait plus de 6 millions de francs par mois dans la prostitution qu’elle exerce avec dextérité depuis l’age de 16 ans.
Queen Farcadi: « Je paie des filles ivoiriennes pour faire l’amour devant moi »
Suivie par plus de 400.000 abonnés sur instagram, le jeune femme ghanéenne de 24 ans a decidé de faire fortune dans le plus vieux metier du monde: celui de vendre son corps pour gagner sa vie. Très célèbre au Ghana, Queen Farcadi avait récemment fait la Une des journaux en ligne quand elle avait déclaré ne pas aimer travailler, à part bien évidemment le travail du sexe: la prostitution.
‘’C’est ma décision, c’est comme si vous êtes paresseux et ne voulez pas travailler, vous devez donc utiliser votre corps pour obtenir ce que vous voulez… je suis une fille paresseuse’’, avait-elle avoué. Pour elle, toute femme qui n’est pas mariée et qui a des relations sexuelles, est une prostituée. Dans une interview avec Berla Mundi sur le «Late Afternoon Show», Queen Farcadi fait savoir qu’elle gagne avec la prostitution plus de 6 millions par mois.
Selon BeninwebTv, elle obtient 30 000 GH ¢ par mois, contre 10 000 GH ¢ hors ligne et GH ¢ 20 000 en ligne, soit l’équivalent de 7 millions CFA (12.000 euros).
Elle ajoute n’avoir aucune honte d’exercer ce métier et se sent plutôt à l’aise. En ce sens, elle souligne : «Tant que je ne consomme pas de drogue et que j’utilise mon corps pour gagner de l’argent, je m’en fiche.» En juillet 2021, Queen Farcadi fait de graves révélations sur les dirigeants des églises au Ghana qui sollicitent ses services. La nouvelle fait l’effet d’une bombe dans le pays Nana Akufo Addo. En effet, confie-t-elle, parmi ses clients, il y aurait des hommes de Dieu. D’après la travailleuse de sexe publié par la presse, le tarif des pasteurs s’élèverait à 5000 dollars, soit 2.500.000 fcfa par séance.
Même en congé de maternité, cette mère de famille qui n’adore que le sexe, paye des filles pour avoir des rapports sexuels, se toucher elles-mêmes et faire des danses sensuelles devant elle. “Je les ai prises d’une boîte de nuit, elles étaient des strip-teaseuses. Ce sont trois filles ivoiriennes et je leur paie 100 dollars pour une heure”, précise-t-elle, le temps de reprendra le “service” elle-même.
Ce qu’il faut savoir sur la prostitution et le proxénétisme
Définition
La prostitution est acte par lequel une personne consent habituellement à pratiquer des rapports sexuels avec un nombre indéterminé d’autres personnes moyennant rémunération. Action de prostituer, d’avilir, de dégrader quelque chose de respectable.
Le proxénétisme est le fait de générer des profits sur l’activité de prostitution d’autrui grâce au pouvoir que l’on exerce sur les personnes qui se livrent à cette pratique.
Origine
La cause principale de la prostitution est la pauvreté. Les parents se sentent souvent obligés de vendre leurs enfants à des souteneurs car leur maigre salaire ne leur permet pas de subvenir aux besoins de toute la famille. La pauvreté devient une cause d’abandon.La prostitution est une activité très lucrative par rapport aux salaires locaux.
L’orphelinat
Les guerres, les catastrophes naturelles ou encore l’épidémie du VIH/SIDA augmentent chaque année le nombre d’orphelins. Vulnérables, ces enfants acceptent n’importe quel travail. La prostitution devient un moyen de survie tant l’activité est lucrative par rapport à d’autres formes de travail dégradants et dangereux.
L’essor du marché du sexe
Depuis une quarantaine d’années, le commerce sexuel s’est industrialisé et s’est diffusé par le biais des nouveaux moyens de communication. L’essor et la normalisation de la pornographie a notamment contribué au développement de la prostitution.
Proxénétisme et crime organisé
Dans la plupart des cas, les prostitués sont sous le contrôle d’un proxénète. Celui-ci perçoit un pourcentage sur les revenus des enfants. Il est très difficile de se défaire de cette emprise.
Il existe des petits proxénètes locaux, eux-mêmes anciennement enfants prostitués ou des proxénètes appartenant à des réseaux internationaux de crime organisé.
C’est quoi bizzi ?
Bizi en nouchi, langage de rue en Côte d’Ivoire , pays francophone de l’Afrique de l’Ouest, « bizi » veut dire business. Les « géreuse de bizi » sont celles qui gère un business de manière à gagner de l’argent grâce au sexe.
Comment reconnaître une fille qui se prostitue ?
Elles se montrent dévêtu sans gêne. Elles s’habillent de manière hypersexualisée et tente de se valoriser par ce biais. Elles adoptent un comportement désinhibé et expose anormalement leurs nudités. En dépit de ces apparences, elles peuvent également se montrer négligente vis-à-vis de leur hygiène.
Combien gagne une prostituée dans une maison close à Abidjan ?
En moyenne, la passe « de base » tourne entre 5000 FCFA et 10 000 FCFA le round.Les revenus des prostituées ne sont pas assujettis à l’impôt en Côte d’Ivoire.
Comment appeler une prostituée à Abidjan ?
On les retrouve dans des boites de nuit, des résidences privées, des bars, des hôtels, des restaurants, des salons de massage, des salons de coiffure érotiques, des salons de beauté, des bars de danseuses nues et par le biais d’agences d’escorte.Avec l’avènement du digital , il existe des sites internet dédié à cette pratique.