Le gouvernement ivoirien rejette le rapport d’ Amnesty International selon lequel des leaders de l’opposition politique, seraient arbitrairement « traqués » et « jetés » en prison. Dans une déclaration signée d’ Aimée Zebeyoux, Secrétaire d’État en charge des droits de l’homme, le Gouvernement dénonce le caractère « orienté » du communiqué et les flagrantes contre-vérités contenues dans le rapport signé de Samira Daoud, la représentante sous-régionale d’Amnesty International. Ci-dessous l’intégralité de la déclaration du gouvernement.
En colère, le Gouvernement démonte le rapport d’ Amnesty International et explique le cas Affi


