La Côte d’Ivoire a participé au résultat satisfaisant du groupe Endeavour Mining. Le nombre de la production de mine d’Or provenant des sites du pays pour le compte du groupe dépasse largement celui des autres sites miniers situés dans d’autres pays. Une hausse de production qui pousse la Côte d’Ivoire à une place de leader du métal jaune en Afrique.
Côte d’Ivoire : participation active dans la hausse de la productivité de la mine d’Or
La Côte d’Ivoire de par sa position géographique possède certaines richesses qui la place petit à petit à un rang de leader sur le continent africain et au plan mondial et aux yeux des groupes internationaux installés dans le pays. Ainsi, le groupe spécialisé dans l’extraction de la mine d’Or Endeavour Mining a enregistré une hausse de production de 647 000 onces d’or, soit environ 18,3 tonnes, de ses mines ouest-africaines (Côte d’Ivoire, Burkina Faso, Sénégal). Ceci au cours du premier semestre 2025.
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Un total de production dont la plupart a été couvert par les sites de la Côte d’Ivoire. En outre dans une explication plus large, les mines d’Ity et de Lafigués ont donné respectivement une production de
168 000 onces soit 4,8 tonnes et 97 000 onces soit 2,7 tonnes. Une production de deux sites qui ont permis à Endeavour Mining d’atteindre son objectif de 200 000 onces soit 5,67 tonnes pour 2025.
Par contre dans d’autres pays, comme Burkina Faso et Sénégal, la production mine d’Or enregistrée sur les sites de miniers est inférieure à celle du pays d’Alassane Ouattara. Ces derniers ont enregistré successivement 161 000 onces pour le site de Houndé et 87 000 onces pour le site de Mana et 134 000 onces ont été effectives sur le site de Sabodala-Massawa au Sénégal.
En comparaison avec les autres sites situés dans d’autres pays, on constate que la Côte d’Ivoire s’est imposée comme une source primordiale d’opération. Le pays prend donc part au portefeuille du groupe Endeavour Mining. Et ceci avec la nouvelle découverte de gisement à Tanda, un troisième site pour le groupe dans le pays. En outre, la capacité de production de ce nouveau site est estimée à 59 tonnes en 2024, permettant ainsi au pays d’être proche de son ambition de leader africain.