Candidat à l’élection présidentielle de mars 2026 et , chef du parti d’opposition les Socialistes Congolais, Lassy Mbouity, a été enlevé dimanche derniers par les forces armées et masquées. Peu avant, l’homme avait survécu à une tentative d’assassinat.
L’enlèvement du leader d’opposition congolais Lassy Mbouity
Les membres du parti les Socialistes pointent du doight les autorités du pays d’être à l’origine de cet enlèvement. Dans ce sens, Martial Mbourangon Pa’nucci, porte-parole du parti affirme : « Nous sommes convaincus que c’est le régime dictatorial de Brazzaville qui est derrière tout cela. Ce n’est pas la première fois ». Il ajoute en disant que : « les gens qui sont venus chez lui étaient masqués, armés et à bord d’un véhicule banalisé. C’est pourquoi nous parlons d’enlèvement ». Le porte-parole présice que le parti entend continuer la mobilisation. Elle concernera aussi bien les socilaiste que la population congolaise et sa dispora
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Par ailleurs, les partis d’oppositions ont publié jeudi une déclaration commune face à cet acte. Dans cette déclaration il condamne fermement l’enlèvement de leur frère Lassy Mbouity et exige sa libération immédiate
Le prédident du parti social-démocrate congolais, Clément Mierassa, dénonce cet enlèvement qu’il qualifie d’ailleurs d’ « un acte lâche » Selon lui cet enlèvement s’isncrit « dans une inquiétante escalade de la terreur, de l’intimidation et des violations systématiques des droits de l’homme en République du Congo » Ce dernier condisière cette disparition comme « une atteinte grave à la liberté individuelle et une violation directe de l’article 9 de la Constitution du 25 octobre 2015 ».
La communauté diplomatique et les institutions internationnales ont été alertés urgemment. Mais pour l’heure, aucune réaction officielle n’a éte encore enrégistrée