Les fans de la rappeuse ivoirienne, Nash ont dû remarquer son absence ces derniers temps. Elle se trouvait en Suisse où elle était marraine de la 6ème édition du dîner-gala de l’association pharaphina.ch et la célébration des 10 ans de son existence.
Nash a fait d’une pierre deux coups en Suisse
La rappeuse ivoirienne, Nash communément surnommée ‘’la go cracra du djassa’’, est depuis quelques semaines en Suisse. La chanteuse ivoirienne a pris part à la célébration des 10 ans d’existence de l’association pharaphina.ch ainsi qu’à la 6ème édition du dîner-gala de levée de fonds de cette organisation à but non lucratif. De fait, cette structure à pour objectif de rénover des écoles en Afrique et d’aider toutes les personnes sans distinction. Nous croyons en l’égalité, l’accès à l’éducation, le respect de la diversité et la promotion du bien-être communautaire. Son travail consiste également à réunir des fonds pour réaliser des projets et à sensibiliser le public à sa cause.
Cette association basée dans le pays helvétique dont Nash est la marraine est dirigée par Maman Mireille a invité de nombreuses célébrités africaines à participer le samedi 3 février à l’édition 2024 de cette soirée caritative. L’artiste ivoirienne présente à cette cérémonie a fait d’une pierre deux coups. Avant une présentation officielle de son nouvel album à Abidjan, elle a décidé de marquer le coup avec son staff suisse et l’offrir à son public européen.
Cependant, il faut dire que Nash est régulièrement présente en Suisse d’où elle a sur place son association 2N Switzerland dont le président est Joël Grammson. Cet homme de média est aussi son attaché de presse et son coproducteur Suisse. Par la même occasion, Joël Grammson est le président de l’association Projo.org (éditions musicales à La SUISA) et c’est lui qui a fait partir en 2005 avec feu son manager Suisse Mathias Nagy, le groupe Gbonhi Yoyoyo. Il s’est beaucoup investir à faire la promotion de la rappeuse ivoirienne en Suisse et à travers l’Europe avec l’aide de l’ami de son attaché de presse, le tunisien Imed Hajam.