L’énergie renouvelable s’avère être la porte de sortir de plusieurs pays africain dont le coût de l’électricité devient de plus en plus colossal pour les entreprises et industries. Pour pallier à ce problème la société CrossBoundary Energy spécialisées dans la mise en œuvre de l’énergie renouvelable ambitionne de venir en aide aux pays africains comme la RDC et la Côte d’Ivoire. Mais cette dernière rencontre une difficulté liée à la gestion des risques et perte et convertibilité de devise locale.
Énergie renouvelable : la Côte d’Ivoire et la RDC bénéficieront des services de CrossBoundary Energy
L’énergie renouvelable bat son plein record dans plusieurs pays de l’Afrique. Et ce à travers les services multiples de financement et d’exploitation de l’énergie renouvelable, de Crossboundary Energy. Ainsi, cette société ambitionne d’étendre son service en Côte d’Ivoire et en RDC, mais avec le soutien de la Banque Mondiale. Un soutien financier qui consiste à aider Crossboundary Energy (CBE) dans son problème de convertibilité de devise bloquant depuis plusieurs années la mise en œuvre du projet.
En effet, la branche de la Banque Mondiale nommée Multilateral Investment Guarantee Agency (MIGA) a publié son partenariat de financement avec la CBE. Cette dernière est spécialisée dans les garanties d’investissement afin de couvrir les risques liés à la non-convertibilité des devises de monnaie locale et une facilité pour le déploiement rapide des projets d’énergie dans les pays africains, spécialement en Côte d’Ivoire et en RDC.
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Cependant, pour mener à bien son partenariat avec la CBE, la MIGA a opté pour une stratégie de portefeuille. Un plan qui consistait à financer une panoplie de projets en un seul contrat de travail dans plusieurs pays (100 initiatives dans une vingtaine de pays). Cette stratégie a permis à la MIGA de conclure un financement de 495 millions de dollars avec la CBE. Un fonds destiné à la production et à la distribution d’énergie solaire, éolienne ou hybride avec une garantie de gestion de risques à la non-convertibilité des devises.
En outre, toujours dans la gestion des risques et de garantie, la MIGA compte effectuer une mobilisation de fonds de garantie par le biais de l’IDA (Association Internationale de Développement) pour une somme probable de 61,5 millions de dollars. Un fonds qui pourra couvrir les pertes pour une réduction des risques des banques et investisseurs au cas où il y aura problème de transfert des devises. Un plan bien taillé par la MIGA qui aiderait la CBE à travers les entreprises de la RDC à obtenir le plus tôt possible l’installation des centrales solaires ou hybrides directement sur leurs sites.
En revanche, le même processus de mobilisation d’un fonds probable garantissant la gestion des risque des pertes sera effectives en Côte d’Ivoire. Ce dernier sera possible avec Renewable Energy Catalyst Trust Fund avec une mobilisation de 37,6 millions de dollars. Dans le pays de Alassane Ouattara l’installation de l’énergie renouvelable concerne plus les zones industrielles et les entreprises à forte consommation d’électricité dont le coût d’électricité agir sur le prix des produits. Cela réduira lamentablement le coût d’électricité. Parallèlement , cette mission de la Banque Mondiale à travers la MIGA les pays dans le développement de plusieurs plans dont l’amélioration de la fiabilité de l’électricité, la réduction du coût de l’énergie pour les entreprises, et la création d’emplois.
