La chanteuse canadienne, Céline Dion, a actuellement un sommeil trouble. Son fils aînée serait devenu un accro des jeux du hasard dans les casinos à Las Vegas en dépensant toute sa fortune héritée de son défunt père.
Céline Dion ne sait plus où mettre de la tête à cause de son fils aîné
Les tabloïds américains et européens ont révélé en 2022, que la chanteuse canadienne, Céline Dion, traversait de graves problèmes de santé. A cela, s’est ajouté le syndrome de l’homme raide, une pathologie qui provoque des spasmes soudains et violents. Cette pathologie pouvait même aller jusqu’à immobiliser l’artiste. Dans une vidéo publiée sur son compte Instagram en décembre 2022, Céline Dion, en larmes, expliquait cette situation dramatique qui lui arrive. Même sa tournée mondiale a été reportée à plusieurs reprises.
Comme on dit en latin « annus horribilis » (NDLR : année horrible) pour Céline Dion, une autre situation difficile vient saper son moral. En effet, son fils aîné, René-Charles, est en train de dilapider tout l’héritage qu’il a reçu de son défunt père, René Angélil. Ce dernier qui file le parfait amour avec la fille d’un grand propriétaire de casinos à Las Vegas dans l’Etat du Nevada aux Etats-Unis, est devenu un accro des jeux du hasard.
D’ailleurs, le magazine français Gala a rapporté dans son numéro de ce jeudi 8 juin, que le fils de la star canadienne, âgé de 20 ans, fait de nombreuses folies dans les casinos de l’Etat de l’ouest des Etats-Unis. Il a même effectué une dépense estimée à plus de 300 000 euros, soit 197 546 314,14 millions de Francs CFA en achetant une Mercedes-Benz AMG classe G63.
« Il passerait désormais tout son temps à flamber son héritage », révèle-t-il. Selon le magazine français, il dilapide aussi le reste de sa fortune dans des voyages en jets privés, des soirées mondaines. Sa maman malade, se bat comme un beau diable pour ramener son fils aîné sur le droit chemin. Celui-là même qui avait donné satisfaction à la chanteuse en 2017 à l’Accor Arena, à Paris en se produisant sur scène avec elle.
