La BIDC (Banque d’Investissement et de Développement de la CEDEAO) œuvre pour la croissance du commerce entre les États de la communauté. Dans cet élan, l’institution bancaire a conclu un accord de 100 millions de dollars avec la SIFC (Société Internationale Islamique de Financement du Commerce). Un accord qui va permettre de relever les défis auxquels sont confrontés les commerçants pour le développement de leur commerce tant au niveau local qu’international.
BIDC, un nouvel outil pour la croissance du commerce sur le marché international
La 50e assemblée de la Banque Islamique de Développement est fructueuse pour la BIDC et la SIFC. Cette assemblée, qui a eu lieu à Alger, le capital de l’Algérie, a vu naître un nouvel accord. Ceci entre la BIDC et la SIFC. Ces derniers sont parvenus, dans l’optique de renforcer et de stimuler le commerce sur le marché de l’espace CEDEAO et à l’échelle internationale, afin d’avoir une croissance économique dans le domaine.
Un domaine qui peine à prendre son envol à cause des défis financiers qui sont à relever, tels que l’accès difficile aux financements des acteurs et la transformation socioéconomique, les déficits de financement dans les secteurs clés à fort impact socio-économique. Toutefois, avec cet accord, ces défis seront relevés, notamment l’accès facile aux financements. Dans un autre volet, cela va permettre aux acteurs du commerce d’avoir un soutien d’accompagnement pour les efforts de changement socioéconomique. Tout ceci afin de faciliter la tâche des acteurs concernés sur le marché.
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Ainsi, la signature de l’accord a été effective devant plusieurs responsables de la banque de la CEDEAO et de la SIFC. Il s’agit du Directeur Général de la SIFC, Eng. Adeeb Yousuf Al-Aama, et du Directeur de la Trésorerie et de la Mobilisation des Ressources de la BIDC, Dr Andrews Amankwah, représentant à cette occasion Dr George Agyekum Donkor, Président de la BIDC et de son Conseil d’administration.
Par ailleurs, cet accord signé souligne l’effort de l’institution bancaire qui consiste à booster le développement national du commerce avec les États membres de la CEDEAO. Il est de même pour la relation qui sera approfondie entre les institutions financières. Parallèlement, cela supprimera ou diminuera les manques de financement dans plusieurs secteurs stratégiques impactant.