En Côte d’Ivoire, la production d’anarcade de la nouvelle campagne s’annonce fructueuse pour les producteurs. Ainsi, en comparaison avec les campagnes précédentes, le nombre de tonnes déjà accueilli au port et dans les industries dépasse largement celui de 2024 (754 192) et 2023 (932 103).
Côte d’Ivoire, anacarde, une source de croissance pour les recettes fiscales
La campagne de noix de cajou de l’an 2023 et 2024 en Côte d’Ivoire a laissé des vides à cause de la faible production enregistrée au cours de ces années. Mais, celle de cette année est sur le point de combler ces vides enregistrés au cours des deux dernières années. En effet, la campagne 2025 a donné un nombre de 1.110.000, soit un total de 96% de l’objectif fixé par les autorités chargées de la filière qui est de 1150.000 et 1300.000 tonnes.
Un nombre enregistré par les CCA au port et dans les usines de la Côte d’Ivoire. Ainsi, en glissement annuel, cette dernière est en hausse de 335.808 par rapport à la campagne 2024 et de 177.897 pour la campagne de 2023. Cependant, la hausse productivité de l’anacarde de cette année est liée à l’opération de suivi effectuée par les CCA lors de la production. Une démarche noble qui a porté ses fruits et qui sera profitable économiquement pour les deux camps (les producteurs et le gouvernement).
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En outre, la CCA ambitionne de booster davantage la production de l’anacarde et du coton tout en certifiant une rémunération efficiente aux producteurs sans oublier la valeur ajoutée de la filière. Tout ceci en misant sur les techniques agricoles tout en respectant les conditions climatiques. Des stratégies qui montrent l’effort fourni par les CCA et leur dévouement à inciter la transformation nationale des noix brutes en Côte d’Ivoire. Une stratégie qui contribuera à la croissance économique et à la réduction du chômage dans le pays.
