Affaire « Ahoco »: Safarel Obiang évoque le nom de Dieu et parle de Satan

Le concept  »Ahoco » de Safarel Obiang, malgré les nombreuses critiques et appels à censure, semble faire vibrer les mélomanes du Couper décaler.

Safarel Obiang:  »Quand Dieu bat ta campagne, même satan vote pour toi »

L’artiste Couper décaler, Safarel Obiang, est sévèrement critiqué sur la toile après avoir devoilé son nouveau concept intitulé  »Ahoco ». Pour ses détracteus, l’artiste, à travers sa chanson, fait la promotion de la masturbation. Une vidéo a même été diffusée sur la toile où l’on a vu un garçonnet, en pleine demonstration du Ahoco du Safking, exiber sa nudité tout en mimant une partie de masturbation. A la suite de cette vidéo, des voix se sont alors élevées pour demander la censure de ce concept.

Safarel Obiang, de son côté, est monté au créneau pour dire sa part de vérité.  »Je n’ai pas envoyé un enfant, se mettre nu pour danser. Ce n’est pas moi qui vais éduquer vos enfants. Eduquez-les vous mêmes chez vous à la maison. Moi, mon concept parle de l’instrument de musique en pays baoulé mis en valeur par Maman Antoinette Konan », avait declaré Safarel Obiang, criant au boycott car, selon lui, il y a eu des concepts plus pervers que le sien mais qui n’ont pas suscité autant de tapage.

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Suite à cette sortie de Safarel Obiang, une pétition a été lancée sur la toile pour exiger la censure pure et simple de cette chanson. Cette pétition semble ne pas avoir porté fruit puisque le « ‘Ahoco » du  »Coup de poing de Jesus’‘ est joué dans tous les endroits de loisirs à Abidjan. Mieux, le concept est plébiscité par les mélomanes du Couper décaler, comme le témoigne une vidéo postée sur sa page facebook.

Dans cette vidéo, l’on aperçoit une foule en délire, demandant à Safarel Obiang présent sur la scène du Festi Primud du samedi dernier à Koumassi, de jouer le titre du moment.  »On veut Ahoco », répétait la foule surexicitée. Chose qui a galvanisé l’artiste qui soutiendra que:  »quand Dieu bat ta campagne, même satan vote pour toi ».


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