Au Burkina Faso, le gouvernement a célébré l’édition 2024 de la journée de l’Excellence Scolaire, vendredi 23 août. Occasion pour le Premier ministre Apollinaire Kyélem de Tambèla de plaider pour une fédération des efforts dans le domaine de l’éducation, en particulier au niveau de l’éducation de base au niveau des pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES).
Éducation commune pour les pays membres de l’AES, une idée du Burkina Faso
Le Premier ministre du Burkina Faso, Apollinaire Kyélem de Tambèla, veut une éducation de qualité pour les élèves des pays membres de l’Alliance des Etats du Sahel (AES). Dans son allocution, le chef du gouvernement a plaidé pour l’introduction d’un programme éducatif commun pour les Etats membres de l’Alliance. « Il faut réfléchir à la meilleure façon de fédérer nos énergies dans le cadre de l’éducation de base, particulièrement. Au départ, les élèves sont pris en charge par leur famille, mais aussi par l’école au sens fondamental du terme », a-t-il plaidé.
À en croire ce dernier, la consolidation des efforts au sein de l’Alliance permettra de garantir un parcours éducatif de qualité pour les enfants. Apollinaire Kyélem de Tambèla n’a également manqué de souhaiter que les cours d’histoire et de géographie spécifiques à chaque pays membre de l’Alliance des États Sahéliens (AES) soient introduits dans les programmes scolaires. Toute chose qui renforcera l’esprit d’alliance entre les jeunes générations des pays de l’Alliance.
