Ramatoulaye DJ sera le dimanche 1er octobre prochain sur le podium du Palais de la culture Bernard B Dadié de Treichville dans la salle François Lougah pour son énième one man show. Pour la promotion du spectacle, il a fait le remake du geste qui a touché sa femme à rester avec lui pendant ses moments de vaches maigres.
L’histoire de l’union entre Ramatoulaye DJ et sa femme
L’humoriste ivoirien, Ramatoulaye DJ a connu une véritable traversée de désert dans sa carrière avant de connaître le succès et la notoriété qu’on lui connaît aujourd’hui. Jeune DJ de cabine à la Rue Princesse de Yopougon dans les années, il a croisé le chemin de celle qui deviendra plus tard son épouse légitime.
Avec la mère de ses enfants, Abibata Sanogo qu’on appelle dans le milieu Bibiche, il était difficile pour le couple de joindre les deux bouts pour subvenir à leur besoin dans leur petit studio dans un quartier de la commune de Yopougon au nord du District d’Abidjan. Parfois, offrir des présents à l’élu de son cœur était assez compliqué également.
Avant son One man show le dimanche 1er octobre prochain dans la salle François Lougah du Palais de la culture Bernard B Dadié de Treichville, l’humoriste a remis au goût du jour sur sa page Facebook son passage sur les antennes de Life Radio avec sa dulcinée.
Au cours de cette émission, l’humoriste est revenu sur l’histoire de sa première rencontre avec sa chérie. Elle, à son tour, a raconté le geste que l’ancien danseur a posé et qui l’a véritablement marqué à rester avec lui jusqu’au mariage. ‘’Ce qui a fait que je suis restée avec lui jusqu’à présent, c’est qu’il m’a remis la plus grosse partie de son cachet qui s’élevait à 50 mille Francs CFA qu’il a reçu lors d’une prestation. C’était en 2006 pendant une période de fête où il se mordait les doigts. Il m’a demandé ce que je voulais. Je sentais qu’il voulait m’offrir quelque chose alors qu’il n’avait pas. Dans mon for intérieur, je me suis dit de la manière il est déterminé à se préoccuper de moi, il ne va pas se séparer de moi lorsqu’il aura de l’argent plus tard’’, raconte-t-elle.